Cause de la schizophrénie

Pour la Bioanalogie, l’origine et la cause de la schizophrénie se trouvent dans les réponses aux questions que l’enfant pose à l’âge de 3 ans.  La fréquence quantique du cycle structurel de 27 mois de la Bioanalogie nous permet d’en comprendre le Principe.

Voici la transcription écrite de cette vidéo : 

Quel est le lien de la schizophrénie avec l’Empreinte de naissance !

Donc, on va parler des schizophrénies, qu’elle soit a minima ou a maxima, jusqu’au psychose, jusqu’au clivage psychologique, jusqu’à la bipolarité. 

Le principe. 

Il faut faire référence à l’Empreinte de naissance, c’est-à-dire que, l’embryon enregistre le vécu-ressenti des parents pendant une période de 27 mois, 18 mois avant la naissance, 9 mois après, ce que j’ai appelé « L’Empreinte de naissance » qui donne ce programme biologique puissant, avec ses quatre dates fondatrices, qui nous donnent les Clés de naissance qui sont incroyables de précision et de rigueur. 

Cette période de 27 mois enregistre un programme, comme vous enregistrez un programme sur l’ordinateur. Donc, ça veut dire que ce programme c’est ce que va chercher la biologie à reproduire en permanence toute la vie parce que je ne connais que ça, donc je vais fonctionner avec ce programme. Ça crée ce cycle biologique qu’on va reproduire. 

Et là, c’est comme si l’extérieur me proposait de vivre un autre programme que le mien. C’est-à-dire que je sais fondamentalement dans ma biologie quelque chose et tout l’extérieur vient nier cette réalité qui est au fond de moi, cette vérité. 

Je vous partage un exemple assez fréquent.

C’est le papa qui n’est pas le père biologique, et on se tait. Ce qui fait qu’à trois ans, puisqu’à trois ans c’est le moment où on a repassé complètement sur tout le cycle biologique, sur toute cette empreinte de 27 mois, à trois ans l’enfant va poser la question et il va dire : « Maman, est-ce qu’on peut avoir deux papas ? ». Vous comprenez bien que la mère c’est son secret, son mari ne le sait pas, personne ne le sait, elle ne va pas dire : « Mais oui, tout à fait. Regarde pour toi, c’est ça ». Qu’est-ce qu’elle va faire ? Elle va nier l’évidence. Bon, maman elle a toujours raison, sauf que au plus profond de moi ce n’est pas ce que je sens. Et comment faire cohabiter ces deux réalités ? Celle de ma mère et ma vérité profonde ? Ce qui fait que va s’installer au fur et à mesure un clivage. 

Pour survivre, je ne peux pas faire cohabiter ces deux réalités. Donc, je vais faire vivre ma vérité d’un côté et je vais passer d’un monde à l’autre, c’est Dr. Jekyll et Mr. Hyde. Dans l’extrême c’est ça. Je passe d’un monde à l’autre puisque ces deux réalités ne peuvent pas cohabiter. C’est ça qu’il faut comprendre, c’est que ces deux réalités, la réalité biologique qui est inscrite au fond de moi et la réalité qu’on me propose à l’extérieur de moi, elle ne peuvent pas cohabiter. Ce n’est pas possible d’avoir deux papas et d’en avoir qu’un seul.

Alors là, je prends l’exemple du papa, mais regardez tous les mensonges qui sont entretenus quand l’enfant commence à poser des questions. Ce n’est pas uniquement sur le père qui n’est pas le père. Et c’est pour ça que fondamentalement les questions de l’enfant à trois ans sont essentielles parce que c’est à trois ans que l’enfant vient de faire son premier cycle en entier, de 9 mois à 3 ans, et là il a des questions, il y a des choses qu’il faut vérifier. Et c’est pour ça que les questions de l’enfant il est essentiel d’y répondre. Et quand je dis : « On ne guérit que dans la vérité », alors pas forcément facile, surtout quand le père n’est pas le père.

Question :

Est-ce qu’une réponse bonne réponse que de dire : « Oui, bien sûr, ça peut exister ».

Tu peux commencer par dire ça, oui. En effet, ça pourrait être juste. Il y a ton papa, mais ton papa ce n’est pas ton père. Il y a ton papa affectif, mais ton papa biologique ce n’est pas le même ». S’il ne pose pas d’autres questions, tu peux dire ça. Mais tu peux t’attendre que quelque temps après il dise : « Et dans mon cas, moi ? Je peux avoir deux papas ? », « Tu pourrais ». Et ce serait quoi pour toi… Mais oui, ce sera déjà, je trouve, moindre mal. Tu comprends ce que je veux dire ? 

Bien sûr, c’est possible. Ce qui fait que l’enfant plus tard peut poser d’autres questions. Oui, ce n’est pas impossible. Mais c’est de ne pas nier la réalité. 

C’est aussi la façon de se situer. C’est sûr que la façon de se situer va changer beaucoup les choses. Ça veut dire qu’en se situant, tu as le droit de réagir comme tu veux. Donc, c’est une forme de schizophrénie puisque tant je ne suis pas dans la réalité et que je nie cette réalité-là, c’est programmateur de schizophrénie. 

Mais de la mini schizophrénie. Je veux dire que quand j’ouvre le frigo et que je cherche le beurre et que je ne le vois pas, c’est de la schizophrénie. Et il était devant moi, je ne l’ai pas vu. Ce n’est pas une grande schizophrénie. Ce n’est pas grave. Mais c’est de la schizophrénie. « Merde, mais c’était devant moi et je ne l’ai pas vu ». C’est bien que j’occulte quelque chose. Tu n’es pas obligé de te faire soigner pour ça, tu n’es pas obligé de prendre des médicaments pour ça. Mais c’est de la schizophrénie. J’ai la réalité devant moi et j’en nie une partie. C’est l’arbre qui cache la forêt. Je veux dire que avec une main tu fais disparaître l’univers. Attends ! Avec un doigt tu caches la lune.

Je mets mon doigt sur la lune et je ne la vois plus. Et pourtant… C’est une mini schizophrénie. Mais qui est totale. Elle est mini mais elle est totale en même temps.

 

Vidéos de différents thèmes d’Empreinte de naissance

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