Ne pas avoir d'oreille droite

Pour Jean-Philippe Brébion, ce qui se matérialise à la naissance est issu de la 4^ème génération.

Même si l’image n’est pas tout à fait juste car elle est causale, nous pourrions dire que la vie est comme une course de relais. C’est-à-dire que nous avons à vivre des Principes en conscience, et génération après génération, nous faisons au mieux de ce que nous savons faire et chacun évolue en fonction de ce qu’il est. Et nous sommes notre généalogie en totalité à chaque instant.

Dans l’exemple présenté, le meilleur amour que cette arrière grand-mère peut avoir pour son arrière-petit-fils, c’est d’intégrer le Principe pour elle d’avoir un arrière petit fils sans oreille droite.

De plus, à partir des antétypes universels (archétypes) que sont les Clés de naissance, nous pouvons établir la Clé de rencontre entre les deux.

Clé de naissance de l’arrière-grand-mère : 9755
Clé de naissance de l’arrière-petit-fils : 7531
Clé de Rencontre : 7386

Découvrons le Principe de ne pas avoir d’oreille droite.

Voici la transcription écrite de cette vidéo :

Son arrière petit-fils né sans oreille droite et la clé de rencontre : 7386

Jacqueline me pose une problématique. Bien évidemment, cette problématique-là, vous allez voir qu’elle est très particulière, je n’ai aucune prétention de résoudre en 5 minutes ce qu’elle me propose. On va simplement essayer de voir dans quelle direction on peut regarder les choses.

Elle nous parle de son petit fils qui est né avec une agénésie d’oreille droite. Et tu dis aussi avec une paralysie faciale droite ? C’est ça ?

Quels sens ça a ? Et donc, bien évidemment, quels sont ça a pour elle ? Quel sens ça a pour Jacqueline ? Et c’est ça qui va être intéressant.

Alors, j’entends bien que ce que je suis en train de dire c’est de se dégager de toute problématique émotionnelle. On est bien d’accord. Et ne croyez pas que quand je donne le principe d’un évènement c’est parce que j’ai froid dans le cœur, j’ai un cœur froid, ce n’est pas ça.

C’est vraiment on va juste essayer de prendre du recul, de voir c’est quoi, qu’est-ce qui se passe, quel sens ça a.

C’est de comprendre que, puisque c’est ton arrière petit fils, lorsqu’on étudie la Bioanalogie on s’aperçoit que nos parents représentent notre énergie de concrétisation, c’est-à-dire que ce qui nous laisse en paix, nos grands-parents l’énergie de réalisation, et les arrières grands-parents l’énergie projet, qui est se situer.

On va voir, quel sens ça a pour Jacqueline que son petit fils ait une agénésie d’oreille, une paralysie faciale. Ça parle de la manière de se situer. Ça parle de la manière de se positionner dans la vie. La paralysie faciale, quand j’ai une paralysie faciale je ne peux pas exprimer, montrer ce que je ressens et lorsque je n’ai pas d’oreille je ne peux pas entendre. C’est comme si exactement je n’avais pas à montrer ce que je ressens et je n’avais pas à chercher à entendre les autres.

Cet arrière petit-fils vient résonner chez Jacqueline dans cette tonalité-là. C’est comme si pour me situer dans la vie, puisqu’on est dans l’énergie projet des arrières grands-parents, pour me situer dans la vie je n’ai rien à entendre et je n’ai rien à montrer.

C’est comme si dans sa vie elle avait voulu montrer une autre réalité et elle s’est obligée, pour conserver l’amour, à montrer une direction. Est-ce que ça résonne quand je dis ça ?

Ça veut dire que l’énergie projet c’est la façon de se situer. Et pour Jacqueline, se situer ça va se lire d’une manière très particulière, ça va se lire « 9 7 7 » Comment je dois me situer, je n’ai aucune obligation de résultat. Et ça, ça parle de ça. Donc, chaque fois, c’est comme s’il y avait un problème fort dans une obligation de résultat dans la vie.

Je parle pour Jacqueline : Je n’ai aucune obligation de résultat, j’ai juste à me laisser porter et à assumer la responsabilité de ce qui m’arrive. Toute ma vie ce serait ça. Et le résume de cette vie c’est justement aller du 9 au 1. Aller du 9 au 1 ça veut dire c’est de me laisser porter sans aucune référence extérieure, sans aucune comparaison. Ce serait ça ma vie.

Alors, qu’est-ce que cet arrière petit-fils vient dire ?

La clé de Jacqueline c’est 9 7 5 5 ;
l’arrière petit-fils c’est 7531

Si on lisait la clé de son arrière petit fils : j’assume l’expérimentation de ma place dans le respect de moi-même.

Ça voudrait dire j’ai à répondre à tout ce qui m’arrive, sans obligation, dans la certitude que là où je suis, je suis à ma place et ça veut dire que là où je suis, je suis entendu. Je n’ai pas à entendre les autres. Là où je suis, je suis entendu.

Et ce petit fils il vient parler, il vient dire à Jacqueline 7, 3, 8, 6.

Il vient dire justement comme si dans ma vie j’ai à assumer là où je suis, sans aucun jugement sur moi-même. D’accord ? Et en prenant soin de moi. Il vient juste nommer ça. C’est-à-dire que j’ai à assumé. Ça veut dire que je n’ai rien, je n’ai pas à être entendu des autres et je n’ai rien à montrer aux autres.

Est-ce que ça résonne l’histoire de vie quand je dis ça ?

Oui.

J’imagine que vous savez très bien de quoi je parle.

Oui, c’est vrai. Ça raisonne de l’entendre de quelqu’un d’autre.

Ça, c’est juste notre date de naissance qui nous donne ça. Ce qu’il faut bien comprendre c’est quand on fait un travail comme celui-ci, ce que je suis en train de vous proposer, ce que je suis en train de dire à Jacqueline, je sais que c’est ça, mais je ne sais pas quels sont les évènements qui habillent ça. Et Jacqueline sait bien mieux que moi ce que je suis en train de lui dire. Elle sait très bien de quoi je parle et moi je ne sais pas.

Ce qui est fondamental de comprendre c’est que lorsqu’on travaille une clé, c’est très respectueux de la personne. Je ne demande pas à Jacqueline son histoire. L’important, je vois très bien dans son regard qu’il y a quelque chose qui est touchée et qu’elle reconnaît, et que ça parle d’elle. C’est ça qui est important, cette clé nous permet, comme un diapason, de venir nous remettre en harmonie. Tout est juste, il n’y a rien à changer. Et ça parle de ça. Ça parle de ma vie toute entière.

Merci.

Parfait. Merci Jacqueline.

C’est très intéressant. Mais il y a vraiment un lien entre les deux ?

C’est tout le travail de la Bioanalogie et de ces clés qui sont absolument magiques.

En atelier c’est ce que nous faisons, dans des journées thématiques, on va analyser un cas et on va prendre le temps de passer une heure là-dessus pour vraiment descendre dans le sens de cette histoire. Bien sûr qu’il y a des connexions extraordinaires.

Il y a une chose dont je n’ai pas parlée, il y a plein de choses dont je n’ai pas parlées parce qu’on ne va pas faire tout le sens de cela aujourd’hui, mais l’important.

J’avais un professeur d’acuponcture, j’ai fait beaucoup de médecine chinoise, qui s’appelait Robert Coromond, et que j’aimais beaucoup Il disait souvent « À peu près c’est suffisant ».

C’est-à-dire qu’on a été très précis et à peu près, c’est suffisant parce qu’il y a quelque chose qui a été touchée, l’âme a été touchée. Et c’est ça qui est important.

N’est-ce pas, Jacqueline ?

Oui, c’était très bien.

Merci.