Comment dire ce que nous avons vécu à Vichy pendant le 4e congrès de Bioanalogie ?
Je suis émerveillé et rempli de gratitude.
Ce qui m’a le plus touché est le constat que rien ne peut arrêter la Vie.
Et si nos événements de vie étaient nos meilleurs maîtres de Vie. Un enseignement de ce que nous ne savons pas être et que nous nous devons de mettre en conscience.
Comment dire ce que nous avons vécu à Vichy pendant le 4e congrès de Bioanalogie ?
Je suis émerveillé et rempli de gratitude.
Ce qui m’a le plus touché est le constat que rien ne peut arrêter la Vie.
Aujourd’hui mon propos sur la Loi du Principe1 – qui est la structure du concept de la Bioanalogie – porte sur son application dans le processus de non-identification en reformulant plus concrètement ce que cela implique.
Dans la lignée des articles précédents, je souhaite partager avec vous la lecture Bioanalogique de la vérité et des rêves. Cela comprend aussi bien les rêves que nous faisons durant le sommeil que les rêves éveillés, ou encore les hallucinations.
Dans ses dernières semaines de vie, je suis allé à Québec rendre visite à Juliette, ma belle-mère hospitalisée. Son traitement médical assez lourd avait quelque peu perturbé son esprit. Ainsi, toujours à son souci de bien m’accueillir, elle m’a dit à mon arrivée d’aller chercher quelque chose à manger dans le réfrigérateur de la cuisine. Je lui ai gentiment expliqué que nous n’étions pas à la maison mais à l’hôpital.
Régulièrement, en consultation ou en séminaire, lorsque je propose à une personne d’être à l’écoute de sa vérité, elle me répond : « Je voudrais bien respecter ma vérité, mais je ne la connais pas ! ».
Qu’il soit individuel ou collectif, le mal-être se traduit par un état qualifié de façon récurrente d’état de crise !
On entend ainsi régulièrement que « le monde est en crise » sur tous les plans : économique, politique et sociétal, et nous dépensons beaucoup d’énergie à étudier les phénomènes « responsables de la crise ». Les arguments ne manquant pas, nous accusons tour à tour les lobbies des assurances, les laboratoires pharmaceutiques, les banques, etc. En bref, tout ce que nous trouvons en décalage avec nos « valeurs ».
Après les résultats du premier tour des élections présidentielles, une réflexion publiée sur les réseaux
sociaux a eu un large succès: « En France, deuxième tour très œdipien entre celle qui a tué son père et celui qui couche avec sa mère. »