Ulcère de la cornée

Chaque maladie a un sens au service de notre conscience.

Elle exprime ce que nous ne savons pas être.

Voici la transcription écrite de cette vidéo : 

Principe de l’ulcère de la cornée.

L’ulcère de la cornée, c’est la cornée qui vient se creuser. C’est comme si la cornée se désépaississait.

La cornée est un tissu ectodermique. L’ectoderme c’est l’extérieur.

Si ça creuse c’est que tout ce qui creuse et qui est de l’extérieur, c’est la recherche du contact, puisque les photons ils viennent d’abord percuter la cornée.

Donc, c’est d’être en contact avec ce photon, avec cette lumière.

J’ai une belle histoire d’ulcère à la cornée d’une religieuse. Elle avait quatre vingt et depuis quelques années, elle souffrait d’ulcère de la cornée. Je l’ai eue en consultation. Elle était dans un couvent cloitrée, enfin elle sortait de temps en temps pour aller se faire soigner et elle est venue me voir.

Elle avait eu plusieurs interventions au laser, après, ça s’est cicatrisé.

Je me rappelle que sa Clé de naissance étaient 5 3 3 1. Donc, 3, 3 c’est l’expérimentation de la beauté, de l’esthétique, etc.

Et en fait, l’ulcère de la cornée c’est être en contact avec ses repères, c’est être en contact avec ses rêves, avec son idéal, avec ce qui est lumière pour soi. Et je lui dis :

« C’était quoi votre rêve de petite fille ? ».

Et elle me dit : « J’aurais voulu être danseuse d’étoile ». Alors, c’était touchant.

Je lui dit : « Regardez comment vous êtes restée en contact avec ça. C’était quoi pour vous danseuse étoile ? »,

Et on a parlé de la beauté, l’esthétique. Ah oui, c’est ça. C’est là où elle a commencé a guérir.

Elle dit : « Ah ! Et c’est pour ça que moi j’aime tellement, dans le monastère, c’est moi qui m’occupe de mettre les fleurs, d’aller ranger pour que ce soit beau partout ».

Et je lui dis : « C’est ça. Et en fait, vous nourrissez la petite fille. Vous venez nourrir la petite fille et vous venez guérir la petite fille en faisant ça ».

Et vraiment, on sentait comme si elle avait retrouvée la petite fille qui avait été embrigadée dans son ordre religieux malgré elle, dans toutes sortes d’histoires. Je lui dis : « Mais vous n’avez pas perdu votre vocation première et vous l’avez mis au service de Dieu ».

Je suis rentré dans son vocabulaire, mais c’était important de rentrer dans son vocabulaire, de ce qui la laissait en paix. Et je l’ai revue trois mois après, elle me dit : « Je suis allée voir l’ophtalmo, il n’y a plus besoin de me faire de laser et ça allait beaucoup mieux ».

C’était tellement touchant cette petite religieuse. Qui restait donc en contact avec son rêve d’enfant. Parce que pour elle il y avait l’histoire. Elle dit : « Mais mes parents n’ont jamais voulu ». Danseuse d’étoile c’était vraiment l’inverse d’un chemin spirituel.

Elle avait 80 ans, donc on imagine que chez ses parents aller à Paris et faire le petit rat de l’opéra ce n’était pas possible.

En fait, c’est comme si pour elle, elle souffrait d’avoir perdu ce rêve. Je lui dis :

« Regardez, c’était quoi la motivation première de ce rêve ? »

C’était de mettre de la beauté

et je lui ai dit :

« Vous avez fait ça toute votre vie »,

« Ah, c’est vrai ».

 

Et on sentait que ça venait l’apaiser.

 

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