Glaucome

Et si le glaucome était une invitation à la présence à soi ?

Cette vidéo vous permettra de comprendre la symbolique de cette pathologie.

Voici la transcription écrite de cette vidéo : 

Découvrez le Principe du glaucome

Souvent, je fais cette expérience. Je prends un verre vide, je mets mon doigt derrière le verre, vous voyez mon doigt, je remplis le verre d’eau, et qu’est-ce qu’on voit ? Le doigt se met à grossir vu de l’extérieur.

Dans le glaucome qu’est-ce qui se passe ? Il y a une hypertension du liquide de l’œil parce que le liquide qui est produit par le plexus choroïde ne peut plus s’évacuer. Les canaux se bouchent et ça ne peut plus s’évacuer. Donc, l’œil c’est le même principe que l’hydrocéphalie, le liquide céphalo-rachidien qui est produit là aussi au niveau des plexus choroïdien, au niveau du cerveau, qui se met à grossir et grossir. Donc, ça donne une hydrocéphalie.

Mais en fait, plus je vais mettre d’eau, l’eau c’est ce qui va donner la forme de l’œil, c’est ce qui va protéger l’œil, … et ça va permettre de faire loupe. Donc, c’est tous ces paramètres qu’il nous faut regarder pour voir quelle est l’invitation qui est faite par le glaucome.

 

En fait, l’eau, si je verse de l’eau sur la table, elle va se répandre, s’il n’y a plus de table, elle tombe, s’il y a un récipient elle remplit le récipient, le récipient est plein et il déborde, etc.

L’eau adhère parfaitement à la réalité concrète. En fait, adhérer à la réalité concrète, ne pas vouloir une autre réalité que celle qui est là. C’est ça l’amour. C’est un constat. Donc, en fait, c’est une invitation à regarder sa vie avec plus d’amour. À regarder sa vie, ce n’est pas forcément la vie extérieure, c’est regarder sa vie.

J’ai le cas d’une petite fille qui commence un glaucome et elle m’a raconté l’histoire de sa grand-mère qui me dit elle est morte avec un glaucome. Donc, quand la petite fille qui a 35 ans, tout d’un coup elle se met à avoir une pression intra oculaire, elle commence à paniquer parce qu’elle se dit « Ma grand-mère est morte aveugle avec un glaucome ».

Très bien. Et elle nous raconte l’histoire de la grand-mère et ça se passait à Brassac-les-Mines.

À Brassac-les-Mines, comme son nom l’indique, c’est un village minier, il y avait les mines de charbon, et il y avait, vous savez, les cités minières, ce sont les maisons collées qui se ressemblent toutes, etc. Et la grand-mère, un matin, part au marché avec ses deux paniers, elle va faire son marché, et puis au marché elle discute avec une copine un peu plus longtemps que prévu. Et elle arrive, comme si la rue était là, elle arrive ici et quand elle tourne elle voit au bout de la rue son mari, qui n’était pas grand-père encore à l’époque, bien sûr, son mari qui s’en va, qui part avec un copain dans la carriole, enfin, il part avec un copain à la mine alors que ce jour-là il ne devait pas travailler. En fait, il s’est trouvé que le copain avait quelque chose d’important à faire, il avait demandé à son ami de le remplacer à la mine. Le grand-père est parti à la mine le remplacer, il y a eu un coup de grisou, il est mort. Et quelque temps après, la grand-mère, qui n’était pas grand-mère non plus à l’époque, fait un glaucome. Et en fait, elle arrive, je l’ai raté d’un rien du tout, si je ne m’étais pas arrêtée discuter avec mes copines sur le marché, le grand-père, je lui aurais parlé, mon mari je lui aurais parlé, il ne serait pas parti à la mine. Dans son représenté. Si je n’avais pas pris ce plaisir pour moi de discuter avec ma copine, il ne serait pas mort.

Qu’est-ce que lui dit la vie ? C’est revenir sur l’évènement, donc, rapproche-toi de l’évènement, regarde l’évènement, ça n’aurai rien changé parce que même si tu ne t’étais pas arrêtée pour discuter, le grand-père, si ce n’est pas aujourd’hui ce sera un autre jour, mais c’est son histoire à lui, laisse-lui sa responsabilité. Donc, c’est une invitation à prendre la responsabilité de sa vie, avec bienveillance pour soi, en laissant la responsabilité de la vie aux autres.

 

Question :

Comme un regret ?

Oui, parce que c’est même plus qu’un regret, c’est un remord. Donc, c’est vraiment de mettre de l’amour dans la vision sur soi en laissant la responsabilité de leur vie aux autres. Je ne suis pas responsable du malheur ou du bonheur des autres, de ce qui arrive aux autres.

Voilà. Et de sortir de son image à soi, de se dire si … Donc, c’est aussi de cesser de porter les évènements de notre passé comme des erreurs ou comme des fautes qui ont déclenché un malheur autour.

 

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