Voici un petit exemple de phrase assassine.
« Tu as mauvaise conscience envers papa ! ».
C’est arrivé par téléphone, par sa soeur. Pourtant, Anna (nom d’emprunt) s’était occupée de son père malade jusqu’à son décès.
Analysons le Principe de divers événements de vie.
Voici un petit exemple de phrase assassine.
« Tu as mauvaise conscience envers papa ! ».
C’est arrivé par téléphone, par sa soeur. Pourtant, Anna (nom d’emprunt) s’était occupée de son père malade jusqu’à son décès.
Julien Peron directeur de l’agence de communication Neo-bienêtre a interviewé Jean-Philippe Brébion.
Le sujet de cette interview : « C’est quoi le bonheur pour vous Jean-Philippe Brébion ? ».
Dans cette revue, me consacrant tous les mois à la chronique de la Loi du Principe afin d’initier les lecteurs à une vision hors dualité de notre quotidien, je ne me suis encore jamais exprimé sur le sens d’une maladie spécifique. Cependant, les diverses réactions suite à l’infolettre de Yves Rasir sur la maladie de Lyme -qu’il a nommée avec beaucoup de justesse : « maladie de l’âme »- m’incitent à partager avec vous la lecture de cette pathologie à travers la Bioanalogie.
Pour la Bioanalogie, plutôt que de donner un sens à sa vie, il faut laisser la vie prendre sens en se situant.
Il n’est pas toujours aisé de trouver un sens à ce qu’il nous est donné de vivre, tout particulièrement lorsque nous sommes confrontés à un événement douloureux.
Nous nous faisons la plus grande escroquerie à nous même en mettant la mort devant nous alors que la mort est derrière nous !
Regardez cette vidéo pour comprendre le sens de la mort selon la vision de la Bioanalogie.
Dans la dualité, la cause est vraie, elle existe. Mais avez vous déjà remarqué que la cause à une cause, qui a une cause et encore une cause. Nous devons remonter à l’origine du monde, au Big-bang pour avoir la cause première : Le Tout, lui, est Non causal.