Une exploration profonde au cœur de notre Être...
« Cela nous entraîne dans un voyage au plus profond de nous-mêmes, jusqu’au cœur de nos cellules, nous reconnectant à notre être. »
Jean-Philippe BRÉBION, Concepteur de la Bioanalogie
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Portrait de Jean-Philippe Brébion
À l’âge de 3 ans, en contemplant l’immensité d’un ciel étoilé, Jean-Philippe Brébion vit une de ses premières prise de conscience: « Même dans l’obscurité, il y a toujours de la lumière ! Ce n’était pas le cas dans ma chambre d’enfant. Cette découverte a marqué ma vie et ma manière de comprendre l’existence. » L’année suivante, il souhaitait devenir prêtre. « J’ai fini par réaliser que ce qui m’attirait n’était pas la religion, mais la quête spirituelle, le désir de saisir les lois universelles qui régissent la vie. »
Né le 15 novembre 1949 à Thiers, au cœur des volcans d’Auvergne, Jean-Philippe Brébion a grandi dans une famille bourgeoise aimante et catholique pratiquante. Alors que ses cousins s’orientaient vers de hautes études médicales, administratives et juridiques, il choisit de tracer son propre chemin en se tournant vers une profession paramédicale, proche de l’humain, la kinésithérapie et l’ostéopathie. Chercheur infatigable et autodidacte, il nourrit sa réflexion au fil de ses lectures et de ses rencontres. « Très tôt, j’ai été profondément marqué par la pensée de Teilhard de Chardin, notamment lorsqu’il affirme : « La vie est expérimentation » ou encore : « Nous ne sommes pas des êtres humains vivant une expérience spirituelle, nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine. »
Sa quête spirituelle l’a conduit, accompagné de sa première épouse et de ses enfants, à parcourir les chemins de l’Himalaya, de l’Inde au Tibet. « J’ai rencontré Nisargadatta Maharaj à Bombay, quelques mois avant son décès. Cet homme incarnait à la fois une simplicité dépouillée et une rigueur impitoyablement juste des lois de notre existence. » Au début des années 2000, sa route croise celle de Lochen Tulku Rimpoche, un haut dignitaire du bouddhisme tibétain. Leur amitié fut immédiate et évidente. Ce sage lui confia alors que, grâce à la Bioanalogie, son « vieux frère » était plus bouddhiste que lui, bien que Jean-Philippe Brébion ne soit ni bouddhiste ni adepte d’aucune pratique religieuse.
Cette rencontre lui a également offert l’opportunité d’un entretien privé avec le Dalaï-lama, à un moment où il s’intéressait particulièrement à la dynamique du pied au sol. Il a même eu l’honneur de prendre les empreintes de ses pieds.
Au fil de sa vie, Jean-Philippe Brébion a eu l’occasion de rencontrer, à travers les continents, de nombreux sages et maîtres spirituels. « Ce qui m’intéressait, ce n’était pas tant de suivre leurs enseignements que de découvrir la vérité qu’ils incarnaient. » Ces rencontres lui ont permis de confirmer la cohérence et la justesse de la Bioanalogie.
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Durant 40 ans, Jean-Philippe Brébion a parcouru l’Europe, le Québec, les Antilles, l’Italie, la Russie, le Brésil et bien d’autres régions du monde pour partager la Bioanalogie à travers conférences et séminaires. Il est également l’auteur de nombreux ouvrages. Son premier livre, L’Empreinte de naissance, rapidement devenu un best-seller, explore l’impact émotionnel des parents sur l’embryon. Aujourd’hui, les enseignements de Jean-Philippe Brébion sont disponibles en ligne via une plateforme de formation développée avec soin par son épouse Sylvie, dans une complicité et un soutien indéfectible.
À 75 ans, Jean-Philippe Brébion continue d’œuvrer pour que les Clés de naissance, l’outil central de la Bioanalogie, soient accessibles au plus grand nombre. Il intervient régulièrement dans les médias pour partager ses réflexions. « La Bioanalogie, aujourd’hui, dépasse largement le cadre d’une méthode de soin ; elle est une voie d’accomplissement personnel et de réalisation spirituelle. Il n’y a pas de séparation entre le monde terrestre et le monde céleste. Nous sommes à la fois l’un et l’autre. En intégrant cette compréhension, nous cessons d’attribuer une cause à notre bonheur ou à notre malheur. En conséquence, nous cessons d’entretenir le mode de survie de notre biologie animale, laissant ainsi la vie œuvrer à travers notre existence dans un Présent permanent, révélant ainsi la véritable dimension de l’Homme.